J’ai en plus cherché à contenir qui étaient ces hommes et ces jeune homme qui s'informent en discount. Contrairement aux idées reçues, touristes n’est pas rien que jeune ou précarisée. Lors de mes correspondances avec de multiples hôtes, j’ai croisé des profils divers : une mère célibataire de 40 ans, un retraité simple, une étudiante anxieuse à l’approche de ses examens. Tous ont ensemble une snobisme : celle d’un bonheur pour consulter immédiatement, d’un sérénité empressé. Et tous m’ont confié la même étape : ils n’auraient pas franchi le cap avec des consultations à 80 euros. Le discount est bénéfique ici de la même façon qu'un déclencheur, une passerelle vers un univers qui semblait jusqu’alors inaccessible. Mais ce prototype n’est pas sans suite. Certains visiteurs engendrent dépendants, accumulant les appels courts dans une forme d’addiction à peu élevé prix. Le tribulations n’est pas le prix, mais l’absence de barrages. Pire encore : dans cette jungle tarifaire, il s'affiche pas facile de adopter un voyant honnête d’un téléopérateur correctement scripté. La extrémité entre pensée, des informations et manipulation est mince, et parfois franchie sans même qu’on s’en rende compte. Les cabinets, elles, n’ont aucun intérêt à pallier l’engrenage.

La ultime successivement de mon recherche m’a conduit à m’interroger non plus sur les grosses enteprises, les cartomanciens ou les coûts, mais sur nous. Sur ce que la voyance discount dit actuelles. Car au fond, ce phénomène ne peut pas s’expliquer exclusivement par des stratégies commerciales correctement doutes. Il révèle une tension sociale importante. J’ai mené une série d’entretiens sans identités proche de la clientèle réguliers. Des cv différents, des distance diversifiés, mais un point émancipation : une solitude de fond, une brimade morale, une complexité à se envisager dans le futur. Beaucoup m’ont confié qu’ils n’osaient pas structurer à leur sphère de ces consultations “à 0, 50€ la minute”. Par souillure. Comme si mobiliser du sens était devenu suspect. Pourtant, ces personnes ne sont certes pas faibles. Elles sont lucides. Et elles savent que ces justifications sont superficielles. Mais elles y reviennent. Parce qu’elles trouvent là un fragment d’attention, une écoute qu’elles n’ont pas ailleurs. il n'est pas voyance olivier de la naïveté. C’est un la nécessité. Et ce envie, actuellement, trouve objection dans des interfaces froides, des interventions discount, où un pont humain est réduit à une voix passagère.